Autor: / Künstler:
Bourrienne, [Louis] de
Titel:
Mémoires de M. de Bourrienne, Ministre d’Etat, sur Napoléon, le Diréctoire, le Consulat, L’Empire et la Restauration
Untertitel / Graf. Technik:
[Bde. 1 - 4, von 10 Bdn.]
Schlagwort:
Geschichte - 18 Jht.
Bindung / Bildgrösse:
Kart. d. Zt., goldgepr. Rückenschildchen, Rundum-Rotschnitt
Buchdaten / Blattgrösse:
Kl.8°, VI, 385, 370, 386 u. 375 S.
Zustand:
Ecken etw. gedrückt, Kanten tlw. berieben, Papier tlw. gebräunt, stellenweise stockfl.; gutes Ex.
Bemerkung:
Nur die Bde. 1 - 4. «Louis Antoine Fauvelet de Bourrienne (Sens, 19 juillet 1769 - Caen, 7 février 1834), est un diplomate et homme politique français. Sa famille appartient au patriciat de la ville de Sens (Yonne) depuis le XVe siècle. Elle entre notamment en possession du petit fief de Bourienne, situé à Marsangy, village en amont de la cité. Ce fief sera attribué à une branche du lignage. Il est admis à l'École militaire de Brienne en Champagne avec Napoléon Bonaparte et s'y lie avec lui d'une étroite amitié (1785). Lorsque celui-ci est nommé général en chef de l'Armée d'Italie, Bourrienne est appelé près de lui et devient son secrétaire intime et conseiller d’État (1801). Il perd sa place en 1801 pour s'être intéressé à une affaire commerciale frauduleuse. Cependant au printemps 1805, Napoléon l'envoie comme chargé d'affaires à Hambourg, avec mission de veiller à la scrupuleuse application du blocus continental. Bourrienne, qui prétendra a posteriori dans ses Mémoires avoir éprouvé un dégoût profond pour ces mesures tyranniques, s'arrangea secrètement avec certains industriels saxons. Au début du printemps 1807, sommé par Napoléon d'acheter dans des délais très brefs une grande quantité de manteaux pour les troupes françaises stationnées en Prusse Orientale, il n'aurait vu comme seul moyen que de s'approvisionner auprès des fournisseurs britanniques. Cette fraude vaudra son rappel en 1813, l'empereur accusant Bourrienne d'avoir spéculé sur l'introduction de marchandises anglaises interdites. En 1814, il se rallie aux Bourbons, devient directeur des postes et est nommé le 12 mars 1815 préfet de police. Il suit ensuite Louis XVIII à Gand, et, à la Seconde Restauration, devient député de l'Yonne. La révolution de juillet 1830 et la perte de sa fortune, qui en fut la suite, égarèrent sa raison» (Wikipedia).